Le courage d'​ê​tre conscient

by Satori Syst'aime

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1.
Ego breaker 02:31
Les voix dans ma tête m`assaille, elles parlent sans cesse. Aiye, aiye! Le labyrinthe de l`esprit, c`est le siège même de la folie. Tant d`intervention à la seconde, c`est autant d`interférences qui m`inonde. S.O.S , ton stress provoque ma détresse, ça fait que déstress! J`ai passé tant de temps prisonnier dans le cercle du temps. C`est une horreur, tellement d`heures à compter les heures. Je suis prisonnier de l`intérieur. Je t`ai défié de te montrer franchement. Je t`es poussé dans tes derniers retranchements. J`ai été ton ennemi, j`ai même tenté d`être ton ami. Je t`ai observé, déjoué et tu m`a floué encore. Tu m`as aussi fait croire que j`étais mon corps. Des millénaires à s`en faire accroire. On règlera nos comptes si tu ose enfin sortir dehors Tu es constamment insatisfait car tu voudrais être parfait. Tu t`abreuve du manque et tu carbure au désirs. Réussir, ton ambition insatiable nous fait souffrir. Tu désir tous sauf ce qui est Tu aimerais un monde stable pour étendre ton avoir. Tu as peur du silence et c`est pourquoi tu penses sans cesse. Tu craint l`inconnu mais aimerais être reconnu C`est un cercle vicieux qui te consume dans son feu Ta tyrannie passera car elle est régie par l`impermanence. Cette folie cessera, comme une récompense Regarde la fougue qui m`anime, elle fait foi de ma volonté Je suis éternel et rien ne saura m`arrêter 2e partie Je suis un courant par lequel les choses passes. J`en envie de dire des choses qui se passe dans l`espace J`essaye d`être conscient tant que j`en suis capable, J`essaie d`être éveillé tant que je le peux, j`essaie de me réveiller, de m`ouvrir les yeux. J`en envie d`être le canalisateur, le fusible, la fuse par laquelle passe les choses de l`au-delà. Moi comme un autre, un rôle parmi d`autres. Le grand film, film de l`univers. Nous sommes tous acteur de la grande patente. Je flotte, je coule. Je me laisse allez à travers les vagues du ressenti, le grand courant Le courant me met au courant et je m`excite. Je sens mes poils se dresser. Je sens l`énergie. Je suis ample, je suis grand. Je profite du temps et je profite des choses. Je suis tout à fais à l`aise et je me blotti dans la pièce. Je savoure chaque instant qui passe à travers moi. C`est temporaire, je le sais bien car cet égo encore me rattrapera. Mais je suis pour l`instant dans la pureté de la chose. Je suis la quintessence même du moment
2.
Esprit libre 01:56
Le mental est partiel. Ainsi il divise la création. L’esprit réagi à la vie en créant avidité et aversion. La conscience est impartiale car elle ne fait que connaître. Être conscient est un état neutre, tel est aussi l’état de l’univers. L’avidité et l’aversion entraînent la misère. C’est pourtant de cette manière que l’esprit réagi à la matière. L’absence de conscience dans la réaction perpétue la même réaction et l’intensifie. Des sensations de souffrance sont alors ressentis. La conscience objective portée sur les réactions programmées de l’esprit permet à celui-ci de se libérer de ces conditionnements. Donc, de mettre un terme à la misère. En effet comment pourrait-on être assailli par des sensations désagréables si nos esprits n’engendraient jamais ni avidité ni aversion? Enfin, un esprit affranchi de ces conditionnements reviens donc à le rendre impartial. Un tel esprit cessera donc de diviser. Il sera donc équilibre et il coulera avec la création. En résulte la paix. La sainte paix.
3.
À quoi tu pensais ? Étais-tu à l’envers ? Qu’est-ce que tu ressentais, ce maudit soir ? Je voudrais tellement savoir, le fond de l’histoire. Mais ça mon vieux, ça restera à jamais ton mystère. Je croyais ton pacte avec Satan rompu, je te croyais presque en Terre Sainte. Mais la lumière s’est éteinte. J’entends encore le timbre de ta voix. Il y avait quelque chose de différent cette fois. tu voulais vraiment qu’on se voit, ce soir là. Mais j’étais ailleurs – si j’avais su osti ! Je croyais ton pacte avec Satan rompu, je te croyais presque en Terre Sainte. Mais la lumière s’est éteinte. On a fait ensemble les 400 coups. Je t’ai vu grandir à travers le temps. On a relevés ensemble de beaux défis et j’ose croire qu’on se retrouve là-haut, au sommet. Je sais maintenant que c’est pas la fin. Je sais maintenant que tu poursuis ton chemin. Je te souhaite la meilleur des réalités. Je te souhaite d’apprendre sans trop te faire mal. Je poursuis ma route sans regret. Je t’ai dit souvent à quel point je t’appréciais. D’ailleurs la dernière chose que l’on ait fait, est-ce que c’est pas de se faire une accolade ? Aussi raisonne dans mon esprit, les derniers mots que tu m’as dit : Je t’aime mon cricri. Ça m’a atteint droit au cœur !
4.
On est tellement soucieux de ce que pourrait dégager notre image; ce à quoi on s’identifie. On voudrait tellement être certain que les gens sachent qui l’on est et marteler dans leurs esprits la conception que l’on se fait de nous-mêmes. Chacun pense que d’être vu et d’être visible, c’est un peu d’exister davantage. Sans quoi on aurait vraiment peur d’être insignifiant. On nous a vendu un concept selon lequel il faudrait être plus beau, plus riche, plus fort, plus performant que les autres. Mais ta valeur changera jamais. Ta valeur a rien à voir avec ce que les autres en pense. Sans quoi tu vas toujours te stresser pis t’en faire pour des histoires illusoires! C’est pas en faisait du tapage que les gens vont croire en ton mirage. C’est pas en publiant tes images que les gens vont te rendre hommage. Moi ce qui me fou la rage, c’est nos dérapages! Si t’es prit dans une cage, je trouve ça vraiment dommage. Ces pas avec ton image que tu vas te rendre sage! Le rêve américain! Hèye c’est tu assez dépassé à ton goût, le rêve américain! Notre mental nous gouverne, nous ''organise''(gère nos affaires à notre place). On regarde des feuilletons, on regarde des conneries. On regarde des miroirs déforment qui nous projette une projection de nous-mêmes. Le culte de la beauté, de la jeunesse, le bedon, les petites fesses : Tous ça va durer un certain temps! Tu vas te faner comme tout le monde pis quoi? Après ça tu vaux moins qu’un autre être humain? Mais c’est pas ce que l’on est! On est des êtres humains : On chie, on pète, on pense, on a tous des sentiments, on pleure, on rit! Que tu sois écolo ou que tu sois grano ou gothique ou ce que tu veux, qu’est-ce que ça change ça si t’es pas capable d’être plus humain? En fait ce qui est réel, c’est que tu es immortel. L’hôtel de la conscience dans un support charnel. En s’identifiant à ce qui est irréel, on fini toujours par s’en sortir avec des séquelles. On est sur la terre pour transcender la matière. Pas simplement pour se complaire de nos petites affaires. Et nous ne sommes pas seul dans l’univers! À tous les jours, il faut se lever et recommencer encore. À tous les jours on se demande pourquoi au fait on se lève? Enfin j’espère que vous vous le demandez parce que c’est quand même nos vies qui défilent. Travailler 40, 50, 60 heures par semaine, pendant une vie osti! Mais pourquoi?! Pour créer la richesse pour une minorité qui nous rendent de plus en plus pauvre, tous le temps. on est dans une bulle où tous le monde est endettés. Il faudrait que l’on continu à s’endetter, constamment, sinon le système plante! Grâce à la mondialisation, une poigné de gens font le même salaire que la moitié de l’humanité, c’est quand même incroyable! On est là pis on regarde ça comme si c’était normal. Une poigné de gens qui ont tous, tous, et même beaucoup, beaucoup plus que ce qu’ils ont besoin. Beaucoup, beaucoup plus que ce qu’ils ont besoin eux-mêmes. Comment est-ce qu’on peut être heureux si il y a plein de gens qui sont malheureux autour de nous. Mais c’est ça le système! De voir les gens se laisser bourrer la gueule de mauvaises nouvelles. Se faire gaver d’histoires toujours plus plates les unes que les autres : Des cadavres, des polices, des procès, des magouilles financières, des rhétoriques de production, des gouvernements qui se crissent de nos gueules, qui coupent dans nos droits, qui rentrent dans l’armement. On est devenu un pays offensif. Pour qui l’on se prend? Vraiment, pour qui l’on se prend? Nous, on a tellement les bonnes valeurs qu’on va les imposer ailleurs! On serait apparemment des milliards à avoir regarder le mariage du prince et de la princesse : Hèye quand même, franchement! C’est vraiment un mirage de penser qu’on va réussir chacun à notre manière en moussant notre propre petite cause personnelle. Voyons donc! C’est collectivement qu’on va enfin réussir à être bien tous le mondes, d’une manière équitable. La compétition est à chaque coin de la rue alors qu’il nous faudrait s’unir. S’unir pour vivre l’amour, vraiment : La seul vrai force qui nous rend confortable et qui nous rend heureux. La seule vraie force capable de bâtir un monde nouveau. Tant et aussi longtemps qu’on va l’ignorer, on va continuer à tourner dans une roue où on va vendre nos journées, nos âmes, nos vies, nos jeunesses, nos vieillesses pour un système qui produit, qui produit, qui produit, qui surconsomme, qui pollue, qui détruit! Il faut enfin passer à la révolution. Il faut enfin voir les choses autrement. Sortir du petit moi, sortir du nombril. D’être sensible à l’égard des autres. De ce mettre dans la peau des gens qui font parti de l’humanité à laquelle nous appartenons tous. Y’a rien d’autre qui existe. On peut pas vivre individuellement. C’est quand même incroyable qu’on soit là en train d’aduler un système qui nous rend misérable. Qu’on soit là en train d’adorer nos chaînes comme dirait l’autre. Faut le faire en sacrement pour se prosterner devant une machine qui nous écorche vifs! Parce que c’est pas en prenant pour acquis que les fées vont nous aider que les choses vont vraiment changer. Enfin, il nous faut se lever. Se lever vraiment! Mais quand est-ce qu’on va le faire sacrement!!!
5.
Hey! L`heure du réveil a sonné. Hey! Le cauchemar à assez duré. Hey! Redresse-toi, ouvre grand tes bras, Car : La terre va trembler et le jour va bientôt se lever L`heure du réveil a sonné Ouvre grand tes yeux, tu peux faire un vœu, ose! Le ciel est en feu, fini les menteries. Brise tes chaînes, libère-toi de la peur!!! Ravive la flamme cachée en toi. Les marchands de sable t`ont endormis. Ressens la vie, retrouve la foi. Ton cœur est peut-être enseveli. L’heure du réveil a sonné. Déploie tes ailes, laisse-toi porter et vole! Brise tes chaînes, ose!!! Pourfend tes démons, accepte de l’aide, ose!!! La terre va trembler et le jour va bientôt se lever. Libère-toi de la peur!
6.
Mon chemin 03:41
La route est longue et mystérieuse Parait que le voyage en vaut le coût Été, printemps comme hivers Je me suis toujours été fidèle Il m`est arrivé de me quitter Mais je n`étais jamais bien loin sur l`accotement Il m`est arrivé de me haïr Mais si tôt je me suis rappelé que je suis humain Il y a les remords d`avoir fait mal Mal à la vie, mal à soi-même Rien n`est parfait, le bonheur est fragile Mais j`aurai donné l`amour dont je pouvais On est tous auto-stoppeur Et on porte aussi pas mal de gens Y`en a qui reste jusqu`au bout Pour d`autre c`est la prochaine sortie Il m`est arrivé de m`en vouloir et je m`en veut toujours mais tendrement J`ai des regrets bien entendu Mais j`en aurais aussi de ne pas en avoir De toute les âmes dans la galère, j`ai eu de la chance; je suis pas née en enfer Pour toute les âmes qui ont souffert, j`aurai donné l`amour dont je pouvais
7.
Je regarde la population et ça m’enrage. La nouvelle culture a fait ses ravages. Nous sommes au paroxysme du grotesque, là où le matérialisme est une fresque. Vous croyez que l’ambition de diriger le monde appartient désormais à la littérature? Que c’est la démocratie qui maintenant nous l’assure? Mais la démocratie est morte avec Kennedy. Les Napoléons et autres conquérants sont toujours vivants. Seulement aujourd’hui, les batailles ne se livrent plus sur un front mais se gagnent avec des fonds. Le nouvel arsenal, c’est celui du capital. De moins en moins de riches, de plus en plus de pauvres et surtout…de plus en plus d’idiots. Refrain Et pendant qu’on passe nos vies à produire des conneries à la tonnes. Et pendant qu’on regardes le nombril de Paris Hilton, eux, ils redessinent le monde. Redessinent le monde. On regardes le nombril de Paris Hilton, eux, ils redessinent le monde! On pourrait vivre l’âge d’or en partageant les richesses. Travailler 3X moins, et moins fort; Sans perdre le confort et sans perdre le nord. La misère est voulue, la faim entretenue. C’est dans notre insécurité qu’ils sont en sécurités. Diviser pour mieux régner. Rien n’est divisé dans les médias par hasard. Pour fuir, tu as tous le bazar lorsqu’on te fou le cafard. On vous sert des histoires à vomir debout. On vous gave de médiocrité. On vous tient à genoux avec des insanitées. 80% des gens n’aiment pas leurs travails. On a les records de suicides. On court de plus en plus vite, vite, vite! La technologie nous dirige. Ton ordinateur te surveille, et tu penses que je suis fou! Refrain Continuez à vous vautrer comme des larves qui carburent au cul et aux Maywests. Écoutez vos téléromans débiles et infantilisants. Offrez vous un Hummer et mangez du Mcdo en le conduisant. Exposez vos poitrines en silicone et vos peaux surbronzées. Ayez des enfants nourris au gras trans qui verront leurs tronchent sur Facebook. Continuez de regarder Britney Spears au lieu d’avoir une vie. Soyez froid et sans émotions en portant vos windshields de vedettes. Adorez les castors Jules et Bertrand qui sont à votre image. Buvez de la sluch de têtes à claques et lorsque vous ne pourrez plus contenir toutes la merde qui s’accumule en vous, vous aurez enfin une bonne raison d’exploser.
8.
J`ai toujours exigé beaucoup de la vie. J`ai presque toujours fais de mon mieux. Jamais cessé de dire que c`est beau. Même quand la vie me fait défaut. Mais parfois j`ai pas envie d`être raisonnable et conscient. Je voudrais détruire et maudire tout ce qui ce trouve autour de moi. Je me donne un mal fou à contrer le désir. Cette envie toujours de fuir, pour éviter de ressentir, ce qu`il reste quand il n`y a plus de magie. Je rame fort pour m`en sortir. Souvent à contre courant. Tenant le flambeau hors de l`eau même quand j`ignore d`où vient le courant. Parfois je marche seul dans la nuit. J`essaie de retrouver mon âme. Que je perd tout les jours où le soleil se lève sur la terre. Quand je marche seul durant la nuit j`ai l`impression que le temps s`arrête et de faire la paix avec l`univers. Chaque jour est un jour nouveau qui apporte avec lui de nouveaux défis et ce qui est intéressant dans la vie c`est le sens des malheurs comme des bonheurs. On paye un peu trop pour certaines gaffes. Y`a des leçons qui coûtent plus cher que d`autres. Il arrive qu`on paye pour les erreurs des autres et c`est comme ça même pour les moins safres. Quand bien même que je m`obstine ; quand bien même que je veut rien savoir, et quand bien même que je m`acharne, c`est moi qui perd. Quand bien même que je patine pour justifier toute ma colère et même si je fais ben du vacarme. c`est moi qui perd. Alors je me laisse aller. Je finis par abdiquer. De toutes façons que ça me plaise ou non, c`est comme ça. J`exige toujours beaucoup de la vie mais j`arrive mieux à accepter les obstacles et leurs défis et ça me permet de mieux continuer
9.
On m’a hissé dans les airs J’ai été soulevé de la surface de la terre Pendant un temps, j’ai perdu mes repères Puis j’ai reconnu mes sœurs et frères Nuit de magie, nuit de poésie : Enfin, cette nuit-là j’ai compris! Il s’agit de l’amour, la force motrice et profonde, qui anime l’univers Il s’agit de l’essence qui respire dans l’espace; Comme le grand frisson après la prise de conscience Danse d’abondance, appel de la vie Enfin, cette nuit-là j’ai compris! Certain l’appelle Allah, Krishna, le grand tout ou encore le tout puissant Plusieurs font référence à l’Être suprême, Le créateur ou encore Seigneur Dieu Mais anyway, cette nuit-là, on s’est regardé dans les yeux J’ai vue la beauté, la grandeur et la gloire J’ai touché la substance derrière l’accessoire Franchi la lumière au fin fond du couloir J’ai traversé la grande salle des miroirs Je crois bien que je vais enfin finir par y croire, finir par y croire On se pense bien différent…les uns des autres Le pire des coupables est pourtant…un des nôtres Nous cherchons fondamentalement la même chose Nous sommes tous animés par le même désir Désir de s’unir, désir de s’ouvrir Et de transcender ce qui nous fait souffrir Je souhaite embrasser la totalité de ce qui existe Les choses humanistes autant qu’égotistes Car ce à quoi je résiste, persiste C’est en m’ouvrant à une chose et son contraire que je peux ensuite choisir Accepter pour mieux choisir qui je veux devenir Plutôt que de repousser ce qui me fait souffrir Ce à quoi je résiste, persiste. On m’a hissé dans les airs J’ai été soulevé de la surface de la terre Pendant un temps, j’ai perdu mes repères Puis j’ai reconnu mes sœurs et frères Nuit de magie, nuit de poésie : Enfin, cette nuit-là j’ai compris!
10.
Et je suis là, je tourne en rond de mille et une façon. Je ne sais pas où je m’en va. Je ne sais pas ce qui va pas «anyway». Le fameux malaise qui rend mal à l’aise et qui pèse. Pèse fort sur mon être qui quête. Je passe mon temps à faire semblant et je passe mon temps caché derrière ce qui me fait perdre mon temps. j’ai rien à écrire pour combler les espaces blancs, trop souvent, les mots restent prisonniers dans mon corps. Ce corps qui d’abord fait parti du décor, trop longtemps. Étant donné que les tendances m’influencent, j’ai tendance à créer en conséquence. Quoi qu’elles en soient mes préférences vont dans le sens de mon essence, quoi qu’en pensent les tendances. Je me rassure et devient sûr au fur et à mesure que l’inspiration me prêtera attention «by the way». Et il y a cette passion là tout au fond de mon moi profond qui craint sa disparition. Attention. (suite quête d’inspiration) Et je passe mon temps à faire semblant et je passe mon temps, caché derrière ce qui me fait perdre mon temps. J’ai rien à écrire pour combler les espaces blancs et trop souvent les mots restent prisonniers dans mon corps. Ce corps qui encore fait parti du décor, trop longtemps. Refrain

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Photo par Nadine Pesant :-)

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released July 15, 2011

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